Tout simplement, le premier consommateur va proposer un prix d’achat. S’il était seul, avec un seul producteur, il emporterait l’objet. Mais il est entouré d’autres acheteurs qui désirent le même produit. Un second consommateur peut alors arriver et proposer pour le même objet un prix supérieur car il le désire plus ardemment que le premier et lui concèderait donc une valeur plus grande.

A – L’origine de la radiesthésie

Le producteur de pendule et de magnétisme à Rouen suit une formation spécifique, qui est en situation de domination, va alors pouvoir choisir entre les deux consommateurs et privilégiera, rationnellement, le second. Mais un troisième peut arriver et proposer un prix encore plus élevé que les deux premiers, puis un quatrième, un cinquième, etc. La formation magnétisme à Rouen peut s’accompagner d’une formation pendule à Rouen, d’une formation passeur d’âmes à rouen, d’une formation nettoyage et protection énergétique à rouen, d’une formation des blessures de l’âmes à rouen ou d’une formation géobiologie à Rouen est inévitable, qu’elle soit réalisée à Paris, Bordeaux, Lyon, Rennes, Nantes, Lille ou Strasbourg. Que va faire alors le prix de vente des produits dans ce cas particulier ? Il va progressivement, au fur et à mesure que l’on rajoute des consommateurs, aller vers la limite la plus haute que nous avons décrite précédemment.

 

« Chaque consommateur hausse le prix d’achat de l’objet à l’envie, dans la crainte d’être privé de la chose qu’il convoite, jusqu’à ce que le prix lui paraisse égal à celui auquel il obtiendrait cet objet par quelque autre moyen, ou bien tellement élevé, que la privation lui semble préférable à celle de la somme qui lui est demandé. C’est à un prix voisin de cette limite que le plus offrant l’emporte » (Le Hardy de Beaulieu [1866], 91).

 

B – L’origine du pendule et du magnétisme

L’action du pendule et du magnétisme et des demandeurs (aller à l’enchère) élève ainsi le prix de l’objet à sa limite supérieure, pousse les consommateurs à demander le produit au plus offrant, c’est-à-dire à proposer le prix le plus haut pour son obtention. Ce type de comportement de la part du demandeur est relatif à une structure de marché dans laquelle l’offreur est unique et les demandeurs très nombreux.

 

Mais cette situation pour la formation pendule et magnétisme à Rouen n’est pas la seule, nous pouvons également étudier la situation inverse pour remarquer alors l’attitude des producteurs principalement et des consommateurs par la même occasion. Face à la multiplicité des offreurs et à l’unicité du demandeur va naître une compétition pour la vente des objets produits au consommateur. Chaque producteur va alors être obligé, pour vendre son produit, de baisser son prix de vente jusqu’au prix le plus bas.

Quel est celui-là ? Correspond-il au frais de production de la formation pendule ? Certainement pas car il se trouverait toujours un producteur prêt à vendre à un prix légèrement inférieur, et un autre à proposer, face à un seul consommateur, un prix encore plus faible, ainsi de suite jusqu’à descendre vers la limite de la gratuité.

C – Le choix du pendule est simple

Nous ne refaisons pas la démonstration de la prise en compte progressive des différents producteurs, celle-ci étant en tout point similaire au pendule et au magnétisme à Rouen et à la baguette de sourcier à la précédente en sens opposé. Dans cette situation particulière, le producteur, l’offreur va chercher absolument à vendre son produit en baissant le plus possible son prix, il va donc proposer sa marchandise au rabais.

 

« Il est évident que cette personne achètera de préférence à celui des vendeurs qui cédera sa marchandise au moindre prix. Il va donc aller au rabais. » (Le Hardy de Beaulieu [1866], 91).

 

Le plus souvent pour le pendule et le magnétisme à Rouen, il se présente sur le marché un nombre plus ou moins grand de vendeurs et d’acheteurs, ou de producteurs et de consommateurs.

 

« Alors la concurrence [c’est-à-dire le mécanisme que nous venons de décrire] s’établit à la fois entre ces deux classes de personnes, et le prix de la denrée apportée à ce marché s’élève ou s’abaisse, selon que la concurrence des seconds l’emporte sur celle des premiers, ou réciproquement » (Le Hardy de Beaulieu [1866], 91).

 

La concurrence est maintenant décrite comme une structure de marché à travers un très grand nombre d’individus à la fois du côté de l’offre et du côté de la demande mais également par un type de comportement qui consiste, comme nous l’avons remarqué, d’aller à l’enchère pour les consommateurs et de proposer au rabais pour les producteurs. Plus particulièrement, nous avons décrit, avec l’étude de l’école française, une concurrence décrite comme une structure du marché qui impose un type de comportement et inversement. C’est parce que les producteurs sont nombreux qu’ils offrent au rabais leurs marchandises, et inversement pour les consommateurs qui demandent à l’enchère lorsqu’ils sont nombreux. Mais comment cette particularité de la définition de la concurrence que nous venons de décrire et qui consiste en un mixe entre les deux structures de marché que nous avons étudié est prise en compte dans l’analyse économique de Walras. Est-ce que nous trouvons trace d’une quelconque définition de la concurrence similaire à celle que nous venons de donner ?

 

D – Vérification Walrassienne de l’utilisation du pendule

 

Dans les Eléments d’Economie Politique Pure (EEPP), Léon Walras définie la concurrence de la manière suivante et du pendule et du magnétisme à Rouen toute aussi efficace :

 

« Comme acheteurs, les échangeurs demandent à l’enchère, comme vendeurs, ils offrent au rabais » (Walras [1988], 70).

 

La ressemblance avec la définition que nous venons de donner de la concurrence en terme de type de comportement est plus que troublante et sans surprise puisqu’elle correspond aux analyses relatives à la concurrence fournies par les commentateurs de Walras. Mais également, et il s’agit d’une nouvelle approche, cette définition suppose une structure de marché qui prend en compte un grand nombre d’échangistes des deux côtés de l’échange.

 

E – Le pendule et la concurrence

Est-ce que la conception de la concurrence et du pendule et du magnétisme de Walras fait réellement référence à une structure de marché ? Pour accréditer cette question du choix du pendule, et d’après ce qui vient d’être énoncé précédemment, supposons une situation qui n’a rien à voir avec celles que nous avons décrites jusqu’à présent, par exemple un échange de marchandise entre un producteur et un consommateur.

Est-ce que les échangistes utilisant le stage pendule à Rouen, le stage magnétisme à Rouen, le stage des blessures de l’âme à Rouen, le stage de géobiologie à rouen, le stage de radiesthésie à Rouen, le stage de passeur d’âmes à Rouen iront à l’enchère ou au rabais ? Certainement pas, c’est un autre mécanisme qui va rentrer en compte, mais certainement pas celui-ci[1]. Même en étudiant toutes les formes de situation de marché, la seule qui soit réellement compatible avec un comportement à l’enchère et au rabais avec comme point idéal les ventes et les achats à la criée n’est compatible qu’avec une structure de marché impliquant un grand nombre d’échangistes à la fois du côté de l’offre et de la demande. La formation pendule et magnétisme à Rouen est essentielle, aussi bien si elle est réalisée à Paris qu’à Strasbourg. Cette définition de la concurrence suppose donc pleinement la prise en compte d’une structure de marché impliquant un grand nombre d’échangistes parmi les acheteurs et parmi les vendeurs.

 

[1] L’analyse économique développée par Francis Edgeworth permet de répondre à ce genre de question.