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Comment gérer le comportement agressif d'un élève ?
Comment gérer le comportement agressif d'un élève ?

Comment gérer le comportement agressif d’un élève ?

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Un grand qui importune un enfant plus petit, est un comportement courant dans la cour de l’école. C’est fréquent mais cela n’a rien de normal. Et pour venir à bout des rackets, du bullying, des agressions, il faut tuer le mal dans l’œuf. Pour ce faire, il faut essayer de comprendre la source du comportement agressif. Aussi, il faut enquêter sur ce qui motive un élève à avoir de tels agissements. Dans les lignes qui vont suivre, nous allons faire le tour de ces questions.

Le rôle des enseignants face au comportement agressif d’un enfant 

Les enseignants, les responsables de l’école doivent comprendre qu’un enfant ne devient pas du jour au lendemain un petit dur qui maltraite ses copains. De multiples causes peuvent être à l’origine de ce type de comportement. Il est impératif d’enquêter sur la vie de l’enfant hors de l’école. Est-ce que ses parents viennent de divorcer ? L’un de ses parents est peut être malade ? Un enfant qui fait face à une situation qui le dépasse devient automatiquement irritable et agressif. C’est un mode de survie. Durant les activités extrascolaires, il faut que vous ayez un œil sur tout le monde. C’est là que les mauvais comportements se voient le plus. C’est pour cela qu’il est d’ailleurs conseillé, à tous les parents, de souscrire à une assurance scolaire. Jetez un œil à https://www.floabank.fr/assurances/assurance-scolaire-extrascolaire pour connaître les coûts et modalités lorsque vous allez choisir une assurance extrascolaire.

En ayant une information complète sur la situation de l’enfant agressif, l’éducateur est plus à même de l’aider. À lui faire comprendre qu’il agit mal et qu’il faut, par conséquent, qu’il arrête.

Comment identifier un comportement agressif ?

Un enfant agressif contrarie ses camarades. Devant un éducateur, cela peut prendre la forme de taquinerie, de bizutage inoffensif, etc. Mais quand les enseignants ne sont pas là, les petits durs n’hésitent pas à frapper leurs camarades de classe, à les racketter, etc.

Si dans la classe, il y a un enfant que tout le monde craint, c’est que c’est souvent un agresseur. La crainte des autres enfants se traduit par de nombreux comportements : ils ne disent rien quand l’agresseur est là. Ils lui donnent leurs goûters, leurs jouets, etc.

Pour les parents, il est aussi indispensable d’enquêter un peu pour savoir si votre enfant est un petit dur de la cour de récréation. Pour ce faire, regardez de très près son comportement à la maison. S’il pique des crises à chaque fois qu’il n’a pas ce qu’il veut, cela devrait vous mettre la puce à l’oreille. Aussi, s’il ramène souvent des jouets qui ne sont pas à lui, il n’y a pas de doute, il rackette ses camarades.

Un autre signe qui ne trompe pas, il hausse le ton et n’hésite pas à vous répondre. Lorsque vous lui demandez de faire quelque chose, il n’hésitera pas à monter le ton pour vous dire non.

 

Quid de la responsabilité des parents ? 

D’abord, il est impératif de souligner d’emblée que les parents sont pleinement responsables du comportement de leurs enfants.

Vous êtes parents ? Vous devez souscrire votre enfant à une assurance scolaire. Cette démarche vous permet d’avoir un remboursement des frais médicaux en cas de chute à l’école. Une assurance responsabilité civile est également nécessaire pour rembourser les frais liés aux dommages causés par votre enfant.

En tant que parent responsable, vous devez regarder de très près les clauses du contrat d’assurance scolaire. Pour voir s’il y a des garanties complémentaires qui doivent être incluses.

Une fois la question de l’assurance réglée, vous devez également regarder de près le comportement de votre enfant. S’il est ingérable à la maison, il l’est doublement à l’école. Parlez-souvent avec lui. Dites-lui que certains comportements sont inacceptables et punis par la loi. C’est le cas du racket et du bullying. S’il persiste à avoir un mauvais comportement, il faut envisager l’idée que le petit doit consulter un psychologue.

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